La pratique artistique d’Adriana Coluccio s’inspire de sa passion pour la peinture à l’huile classique, tout en étant influencée par le cinéma et son intérêt pour les imperfections créées par les médias numériques.
Ses peintures démontrent sa fascination avec les explorations de la vision, la lumière et le mouvement, montrant des formes
déformées et des fluctuations de lumière et de couleur. En peinturant avec des glacis à l’huile, elle construit des images sur sa toile qui sont simultanément en train d’être déchirées et dans le processus de transformer dans quelque chose de nouveau. Ses oeuvres, en perpétuel devenir, examinent la relation entre la désintégration et la réinvention.
Elle est inspirée par la manière dont les images sont construites, déconstruites, produites, et reproduites. Son travail fait allusion à sa fascination avec la juxtaposition des anciens et des nouveaux médias, le transfert d’une forme à une autre et la dimension qui existe entre les images. Les peintures qu’elle crée représentent la perte de l’information visuelle qui est le résultat de la reproduction et vacillent entre étant des images complètement compréhensibles et des abstractions.
Confrontés par une image en détresse, les spectateurs sont obligés de retrouver les parties qui sont reconnaissables. Cette image, contrariée par le restant de figures et des espaces vides, est connue simultanément dans le passé et le présent, évoquant une mémoire perdue—un instant de dissolution et de régénération. En recherchant à travers le chaos, nous extrapolons ce que nous pouvons des formes qui restent, pendant que la nature éphémère et la malléabilité du temps sont représentées sur la toile.
Ses peintures démontrent sa fascination avec les explorations de la vision, la lumière et le mouvement, montrant des formes
déformées et des fluctuations de lumière et de couleur. En peinturant avec des glacis à l’huile, elle construit des images sur sa toile qui sont simultanément en train d’être déchirées et dans le processus de transformer dans quelque chose de nouveau. Ses oeuvres, en perpétuel devenir, examinent la relation entre la désintégration et la réinvention.
Elle est inspirée par la manière dont les images sont construites, déconstruites, produites, et reproduites. Son travail fait allusion à sa fascination avec la juxtaposition des anciens et des nouveaux médias, le transfert d’une forme à une autre et la dimension qui existe entre les images. Les peintures qu’elle crée représentent la perte de l’information visuelle qui est le résultat de la reproduction et vacillent entre étant des images complètement compréhensibles et des abstractions.
Confrontés par une image en détresse, les spectateurs sont obligés de retrouver les parties qui sont reconnaissables. Cette image, contrariée par le restant de figures et des espaces vides, est connue simultanément dans le passé et le présent, évoquant une mémoire perdue—un instant de dissolution et de régénération. En recherchant à travers le chaos, nous extrapolons ce que nous pouvons des formes qui restent, pendant que la nature éphémère et la malléabilité du temps sont représentées sur la toile.